Écrire n’est rien, sans des yeux amis…

Ce matin,
L’atmosphère m’entraîne vers une randonnée sauvage,
Où pleine d’entrain,
Je noircis de mon écriture des pages houleuses et sages.

 

Pour y arriver,
J’ai déposé dans un panier
Chaque balade de mon été
Souvenirs de ce proche passé.

 

Ce matin,
Sans me retourner, je vogue sur les flots de mon imagination
Où pleine d’entrain,
Ma raison déraisonnée rejoint les vents de ma passion.

 

Qu’il est doux d’emprunter
La balade de ses envies,
Celle qui nourrit,
Celle que l’on nomme amie.

 

Le 7 septembre 2018

Bernie Féré

 

© Copyright